M. De la Hamayde… chantage aux prud’hommes

12 août 2016 | Ecrit par Patrice MARCHAND

M. De la Hamayde, Vice président de l’intercommunalité, Conseiller départemental (président de la commission sociale) et Maire de Saint Parres-les-Vaudes explique que si les neuf salariés et syndiqués CGT qui ont entreprit une démarche aux prud’hommes (suite à la perte de salaire lors de la transposition de leur contrat de travail après l’absorption des crèches par la Croix rouge) gagnent, il fermera les crèches.

Face à ce chantage, à cette pression exercée par l’intercommunalité sur nos camarades, l’UL CGT de Bar sur Seine et l’USD CGT 10 ont fait une conférence de presse le 8 août pour rappeler qui sont les véritables responsables de la situation et pour leur rappeler l’obligation de respecter la loi et les droits des travailleurs.

Voir la conférence de presse

A suivre avec attention et détermination.

Pour l’USD 10

Marc Joudelat

Bonnes vacances à tous !

29 juillet 2016 | Ecrit par Patrice MARCHAND

A partir du jeudi 4 aout
jusqu’au 23 aout inclus.

Le secrétariat de l’UD-CGT ne sera ouvert
que l’après-midi de 13 h 30 à 17 h

La transparence est gage de démocratie

22 juillet 2016 | Ecrit par Patrice MARCHAND

Rapport de l’IGAS sur les 35 heures

La transparence est gage de démocratie

Ainsi donc, la censure fait son retour dans les hautes sphères de l’administration ! Le rapport de l’IGAS consacré aux politiques d’aménagement et de réduction du temps de travail dans la lutte contre le chômage vient de faire l’objet d’une décision inique : le directeur de l’IGAS a décidé qu’il ne doit pas être transmis au gouvernement.

Que lui reproche-t-on ? Probablement de ne pas se couler dans le discours récurrent qui fait des 35h la cause de tous les maux de notre économie ! Au contraire le rapport, à la suite du rapport parlementaire rendu fin 2015, démontre que 350.000 emplois ont été créés entre 1998 et 2002 grâce aux 35h, ce qui justifie une nouvelle réduction du temps de travail pour créer davantage d’emplois. La CGT a initié depuis de nombreux mois une campagne pour une réduction du temps de travail à 32h. Elle se félicite de voir cette proposition portée au-delà du champ militant et confirme que cette perspective est soutenue par les salarié-e-s, comme l’a démontré en maintes occasions la mobilisation contre la loi travail et pour un code du travail du XXIe siècle.

La censure décidée par le directeur de l’IGAS est inadmissible ; elle pose aussi la question de l’évaluation des politiques publiques, de sa forme, de son contenu et de son sens. Doit-elle servir à justifier des choix politiques déjà opérés, ou poser sereinement l’appréciation et la mesure des politiques menées pour fixer de nouvelles perspectives, comme l’a récemment proposé un avis du CESE ? Pour la CGT, la réponse est vite trouvée : une évaluation impartiale et une diffusion fidèle de ses résultats sont indispensables pour restaurer la confiance dans la démocratie.

Plus que jamais la réduction du temps de travail et une modification radicale des politiques publiques est à l’ordre du jour !

Montreuil, le 19 juillet 2016

Déploiement de l’UD CGT à la Chapelle-Saint-Luc

21 juillet 2016 | Ecrit par Patrice MARCHAND

Dans le cadre de la campagne pour les élections dans les TPE, lancé fin mai à Troyes, l’UD CGT a décidé d’un nouveau déploiement cette fois sur la zone industrielle de la Chapelle Saint Luc à la rencontre des salariés des TPE (très petites entreprises moins de 10 salariés). Les militants sont passés dans les différentes entreprises de ce secteur pour leur remettre un document explicatif de ces élections et du déroulement de celles-ci.Sans titre-1

Accueil plutôt ouvert de la part de ceux qui nous ont reçus, ceux-ci ignorent bien souvent que ces élections existent. D’autres journées de ce type s’organiseront encore jusqu’en décembre.

Troisième 49.3 pour une adoption aux « forceps » !

20 juillet 2016 | Ecrit par Patrice MARCHAND

Loi travail

Troisième 49.3 pour une adoption aux « forceps » !

mercredi 20 juillet 2016

Après un retour express au sénat le 19 juillet, le projet est de retour à l’assemblée pour clôturer un processus parlementaire sans débat. Sans surprise, le premier ministre vient d’annoncer le recours pour la troisième fois au 49.3.

Sondages après sondages, le rejet de cette loi régressive est massif et sans appel.

Dernier en date, le sondage Odoxa-FTI paru le 18 juillet, relève que 7 français sur 10 sont « mécontents de l’adoption définitive du projet de loi travail » et plus de la moitié d’entre eux « souhaite que les manifestations contre le texte se poursuivent ».